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Le good buzz n’est plus un hasard mais une expertise

31 mai 2021 - 

Temps de lecture : 3 minutes

En 10 ans seulement, nous sommes passés de l’e-reputation (2012) – un besoin d’être présent – à la Brand Safety (2020) – un besoin de protéger son image. Aujourd’hui, nous pouvons parler d’Influence Safety – un besoin des deux, soit d’être mieux présent, sans risque, via l’influence. Pour cause, en 2021, l’e-réputation reste au cœur des préoccupations d’une majorité d’entreprises, à un moment où l’influence est l’un des moyens marketing privilégiés pour booster celle-ci. Selon la dernière étude Hootsuite, l’objectif de 73% des marques est aujourd’hui de stimuler l’acquisition de nouveaux clients via les médias sociaux (contre 46 % l’an dernier), le second étant, pour 64% des répondants, de renforcer la notoriété de la marque*. L’objectif d’une large majorité d’annonceurs est ainsi de créer de l’autorité et du business en ligne grâce aux réseaux sociaux. Une lourde responsabilité.

“En effet, nous comprenons bien comment le rôle de l’influence a pu se construire sur ce premier besoin de développer une e-réputation. En générant des discussions, des requêtes Google, des contenus sociaux, des avis et des notations client, l’influence est devenue un moteur de croissance pour les marques en termes de…tout. Mais d’abord, en termes de visibilité et de notoriété.” 

Raphaël Demnard, cofondateur et CEO de Sampleo et TWA (Webedia Creators)

 

Connaître les “bonnes pratiques du buzz”

 

Plus de Brand Advocacy sans Brand Safety.

Il est aujourd’hui nécessaire de mieux maîtriser les actions marketing menées à destination d’audiences immenses. Aujourd’hui, le secteur s’achemine ainsi vers une prise en compte plus large des “bonnes pratiques du buzz”.

L’Influence Safety, ou la limitation maximale du risque réputationnel lors des campagnes d’influence, est bien la direction que prend le secteur à travers l’apparition de chartes responsables, de formations, de briefs mais aussi, en apprenant au contact des agences à faire de l’influence adaptée à soi, sa vision, sa marque, son projet.

 

Focus sur les règles du jeu 

 

 

Nos conseils

Puisqu’il faut commencer quelque part, commençons par trois erreurs communes qui peuvent mener indirectement au bad buzz :

1-la méconnaissance des best-practices publicitaires*

2-un brief inadapté (trop restrictif ou au contraire trop évasif);

3-la sur-modération (l’élimination des contenus négatifs ou des notes moyennes).

Pour limiter ce risque, il est conseillé de faire appel à une agence afin d’être accompagné d’un point de vue stratégique et opérationnel.

*Pour vous briefer rapidement sur les best-practices dédiées aux partenariats avec les influenceurs, nous vous recommandons cette vidéo de l’ARPP et notre webinar 100% dédié.

 

En définitive

Aujourd’hui, l’influence produit des cadres créatifs où l’authenticité du contenu et l’intégrité de la marque peuvent être préservées. Pourtant, l’attractivité de l’influence a longtemps été limitée au Reach et à la viralité. Une communication à grande échelle nécessite toutefois, au-delà du retour sur investissement et des KPIS, de rester prudente, tout en restant différenciante ! En ce sens, l’influence de ces 10 dernières années a appris aux marques à être présentes en ligne pour les bonnes raisons et à ne pas abuser des buzz. Ce passage lent mais nécessaire l’e-réputation simple au développement de l’Influence Safety, a permis de coupler performances « chiffrées » et performances « réputationnelles » positives. 

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